STOCKLER (Francisco de Borja Garção).— LETTRE // A M. LE REDACTEUR // DU ‘MONTHLY REVIEW’ // OU // RÉPONSE AUX OBJECTIONS // QU’ON A FAITES DANS CE JOURNAL À LA MÉTHODE // DES LIMITES DES FLUXIONS // HYPOTHETIQUES. // ‘PAR M. STOCKLER Colonel au Corps de l’Artille- // rie, de l’Académie Royale des Sciences, et Profes- // seur de Mathématiques à celle de la Marine’ &c. // Á LISBONNE // DE L’IMPRIMERIE DE L’ACADÉMIE ROYALE // DES SCIENCES // 1800. In-4.º de IV-74-II págs. B.
O autor, bacharel em Matemática pela Universidade de Coimbra, foi sócio da Academia Real das Ciências, instituição que publicou a sua primeira obra, o ‘Compêndio da Teoria dos Limites ou Introdução ao Método das Fluxões’. Conforme se pode ler na ‘Grande Enciclopédia Portuguesa e Brasileira’, entre a muito vasta e interessante informação bio-bibliográfica, foram ainda publicadas pela ‘Academia’ as “Memórias sobre o verdadeiro Princípio do Método das Fluxões”, a “Demonstração do Teorema de Newton sobre a soma das potências das raizes das equações”, a “Memória sobre as equações de condição das funções fluxionais” e a “Memória sobre algumas propriedades dos coeficientes do binómio de Newton”. Entre a muito vasta e erudita obra publicada, destacamos ainda a edição das «Obras» de Garção Stockler, dadas à imprensa pela Tip. Silviana entre 1805 e 1826.
Transcrevemos agora as primeiras linhas da extensa ‘Carta’ de resposta dirigida ao redactor do periódico londrino «Monthly Review»: “Si la gloire de l’Académie Royale des Sciences de Lisbonne n’étoit si intimement liée à la réputation des premiers écrits imprimés dans le Recueil de ses Mémoires, peut-être que le jugement trop peu favorable, que vous avez porté sur mon Mémoire concernant les véritables principes de la Méthode des Fluxions, et que je viens de lire dans l’Appendix au 28.eme volume de votre Journal, ne m’auroit pas déterminé à vous faire la moindre observation à cet égard. Il est même plus que probable, qu’aussi peu sensible à des reproches injustes, qu’à des louanges non méritées, j’aurois gardé le plus profond silence sur cette matiere, en attendant, que les Géomètres de l’Europe, mieux instruits du mérite de ma Théorie par la lecture du Mémoire, qui la contient, que par celle de l’extrait que vous en avez fait, m’eussent rendu la justice, que je crois mériter, et que, si je ne me trompe, ils ne me réfuseront pas. Ce seroit en effet le parti le plus convénable à ma tranquillité, chose vraiment substantielle selon le grand Newton votre compatriote, qui apparemment ne se plaisoit pas plus que moi aux discussions polémiques: mais il seropit aussi le moins digne d’un homme de Lettres, dont la profession lui fait un devoir de s’interesser vivement aux progrés des lumieres dans son Pays, et pour qui l’honneur de la seule Societé, qui y existe destinée à l’avancement des Sciences, ne doit être jamais indifférente. (…)”.
Com uma estampa desdobrável com figuras geométricas.
Brochura com um bonito papel pintado, da época.