BRUNNER (F. A.).— LA MÉDECINE BASÉE SUR L’EXAMEN DES URINES SUIVIE DES MOYENS HYGIÉNIQUES LES PLUS FAVORABLES À LA GUERISON A LA SANTE ET A LA PROLONGATION DE LA VIE. (…) Paris. Chez J.-B. Baillière et Fils, Libraires de L’Academie Impériale de Médecine. 1858. In-8.º gr. de XIV-II-320 págs. E.
“L’urine des malades fixa constamment l’attention des médecins; les anciens s’en occupèrent avec soin. Hippocrate, Actuarius, Galien, Celse et tous les praticiens dont le génie fit progresser l’art de guérir, demandèrent aux urines les lumières les plus importantes sur la maladie et sur le traitement. Un instinct de divination les dirigeait dans cette voie de mystères et de vérités. Mais l’optique et l’analyse chimique leur manquaient, et la force de leur tête ne put suffire pour deviner les altérations de l’urine ainsi que les principes qui entrent dans sa composition. Les qualités physiques de l’urine, c’est-à-dire la couleur, les odeurs, les précipités, les aspects plus ou moins critiques, reflets imparfaits de la maladie: telle fut l’urologie des temps passés.
“Favorisés par le microscope et l’analyse chimique, les modernes reprirent l’étude des liquides animaux et de l’urine en particulier. (…)”.(…)
Encadernação antiga, com lombada de pele. Com suaves manchas de acidez nas primeira e ultima folhas.