[BOURGUIGNON D’HERBIGNY (Pierre François Xavier)].— NOUVELLES LETTRES PROVINCIALES, ou Lettres écrites par un Provincial a un de ses amis, sur Les Affaires du temps, par l’auteur de la Revue Politique de l’Europe en 1825. (…). Paris, Chez Les Marchands de Nouveautés — Novembre 1825. [Imprimé par Lachevardiere Fils]. In-8.º de VI-215-I págs. Desenc.
Extraímos do XLVIII vol. de «L’Ami de la Religion et du Roi. Journal ecclésiastique, politique et littéraire» o texto que vem a págs. 239/240: “Monsieur, il a paru, en 1825, un livre où tout ce qu’il y a de sacré sur la terre est outragé. La noblesse, le clergé, la royauté, les doctrines catholiques, le christianisme méme, tout y est insulté et foulé aux pieds. Les outrages dans cet écrit ne sont pas même voilés; l’auteur affiche hautement ses opinions et dédaigne toute réserve. Ainsi, il affirme que ‘la royauté est un fleau pour l’espèce humaine’. Il va plus loin; de l’erreur morale el semble s’élancer vers les applications positives, il fait comme un appel grossier à l’insurrection. Il représaente la nation française comme ‘un lion couché, qui attend, pour se lever, que sa fureur soit assez excitée. Que manque-t-il à ce peuple indigné pour mettre ses ennemis en poussière? un évènement, une occasion, et le temps en contient mille. (…). Les feuilles libérales ont loué à l’envi le livre; le ‘Constitutionnel’ lá célébre dès avant la publication: «On parloit, dit-il, des ‘nouvelles Lettres provinciales’ depuis quinze jours dans tout les salons, et déjá toutes les terreurs ministérielles sont en éveil. (…)”.
Também do ‘Catalogue alphabétique des Ouvrages Condamnés (…)’ [Paris, 1836] vem a seguinte nota a págs. 49: “Arrêt de la Cour royale de Paris, première chambre civile et chambre correctionnelle réunies, en date du 20 juin 1826. — Outrage à la religion de l’Etat et attaque à la dignité royale, par la composition et publication d’une brochure intitulée: ‘Nouvelles Lettres Provinciales. — François-Xavier D’Herbigny, propriétaire: trois mois d’emprisonnement, tros cents francs d’amende. saisie et destruction des exemplaires dudit ouvrage partout oú ils seront trovés. (Moniteur du 7 novembre 1826)”.
Desencadernado, com falta das capas da brochura e com uma mancha de água junto à costura das últimas páginas.